Il faut se rendre compte des ravages de l’idéologie écolonazie, qu’il faut distinguer de la préoccupation écologiste. Il s’agit de l’idéologie, celle qui veut votre peau à coup d’interdictions les plus diverses.
Les écolosnazis règnent un peu partout dans les grandes ville, et partent en guerre contre leurs phobies, à commencer par les SUV. On avait déjà la vignette crit’air. L’interdiction des logements énergivores. Maintenant on a la lutte des classes contre les SUV. les nombreux propriétaires de SUV et 4×4 vont se réjouir d’être rançonnés.
L’idéologie verte, qui n’a strictement rien de scientifique mais usurpe cette étiquette, procède des mêmes ressorts que le trotskisme, le léninisme, le stalinisme, le gauchisme, le maoïsme. Un ressort très simple partagé par la présidente de Radio France : il faut façonner le monde conformément à l’idéologie du moment, sans égard pour le réel. Le réel n’a pas lieu.
Partout où les verts-trotskistes sont aux commandes, le scénario va s’accomplir.
Mais, que va-t-il se passer dans l’agglomération d’Annemasse ? La difficulté ici est d’abord que les vert-de-gris ne sont pas politiquement en situation de domination. La seconde entrave est que le réel, ici, ne peut être révoqué avec la même facilité qu’à Paris.
Encore qu’il ne faille rien exagérer. Le résultat de la votation parisienne est que 54 % des votants, qui représentaient 5% du corps électoral, ont soutenu l’interdiction. 2,5 %…une ultra minorité.
Imaginez un instant un triplement du stationnement infligé aux SUV, et vous obtiendrez…le bouton rouge du siège éjectable pour les prochaines élections. Allez, chiche, taxez les SUV !