Au prétexte de la grève, de son bon droit, voire du socialisme, des groupuscules animés essentiellement par leur appétit du pouvoir, installés confortablement dans les « fromages » publics, ou semi-publics, qui ont tous pour caractéristiques de leur épargner toute concurrence et de leur permettre de vivre royalement aux dépens des réels travailleurs, tout ce petit monde, très petit monde en vérité, prend en otage la société. C’est permis. C’est constitutionnel. Même si les principes qui restent respectables n’avaient pas pris en compte la possibilité de leur détournement malhonnête. À la différence des braqueurs, ces prétendus grévistes, accomplissent leurs forfaits sans même s’exposer au moindre risque. Il nous reste une arme pour leur résister : les élections démocratiques. À nous de choisir des représentants, qui auront mandat d’éliminer par la loi ces abus.