Nous ne voulons que du bien à nos amis de la mairie, mais franchement, que de laisser-aller. En pensant qu’ils sont à l’abri de tout une fois leur élection acquise, ils se croient tout permis. Ils croient qu’ils peuvent s’adonner à leurs vieilles lunes socialistes, et que le réel n’a pas lieu, comme un philosophe contemporain le souligne. C’est la maladie sénile du communisme et du socialisme, révoquer le réel quand il n’est pas conforme au discours. Tout va donc toujours bien quand ils sont aux commandes. Ils croient qu’ils peuvent cultiver la solidarité internationale pour se tailler une place dans l’histoire, voire prendre du gallon politique. Mais non, le réel est là avec ses trous, ses ordures à deux pas de la mairie, avec ses encombrements quotidiens.