Jusqu’à présent la France de la V° République n’en a pas connu.
Hollande est élu.
Il a aussitôt fait le discours d’un représentant de commerce, celui du fonds de commerce de gauche.
Il a essayé de prendre de la hauteur. Il est resté englué dans sa médiocrité. Dans celle de ses idées.
Il faisait la réclame de son employeur, la gauche. Sous lui à Tulle, on lisait «francoishollande.fr».
La promotion pour la dernière lessive, celle qui ne mentira pas sur la daube qu’elle vend en package tout compris, de Mélanchon-Dufflot-Aubry. Celle du marécage des bobos parisiens, bien sûr pour le vote des étrangers (on n’est pas racistes nous, monsieur), bien entendu pour les 35 heures (ne serait-ce que pour sauter dans le TGV vers Le Touquet), pour les emplois publics, bien sûr encore pour le mariage gai (ou gay), pour l’adoption, pour les réformes «sociétales», demain on va raser gratis, dans la justice.
Hollande a commis son premier discours. À la graisse d’oie.
À en vomir.
Le seul malheur, c’est que c’est en France qu’il est élu.