À la lecture des deux titres les plus consultés dans le secteur d’Annemasse — Le Messager et Le Dauphiné Libéré —, il apparaît clairement, à travers leur traitement des événements locaux, qu’ils tiennent une ligne éditoriale d’une bienveillance systématique envers la majorité municipale socialo-écolo-vivre-ensembliste.
Jamais la moindre réserve, jamais la moindre interrogation critique : une approbation sans faille, constante, qui va de l’insignifiant au majeur. Tout est salué avec une admiration sans nuance, comme si chaque décision relevait d’une formidable inspiration.
Alors, comment se préserver de cette complaisance devenue réflexe ? Une seule réponse : cesser de les lire.