Voici un homme déterminé, alcoolisé, énervé, qui plutôt que de causer un drame, se réfugie dans une niche. Sur le simple terrain philosophique, il ne peut être blâmé. Mais la justice ne l’a pas entendu ainsi, et il a été poursuivi pour les insultes qu’il avait proférées dans son délire.
Les journaux télévisés n’en ont pas parlé. Quelle misère! Réparons ce dommage. Il s’agit de l’info la plus importante de cette semaine encore baignée de terribles catastrophes.
Le tribunal de Gap l’a finalement relaxé, sans doute en considération de la crise du logement.
Mais aurait-il relaxé Diogène, son presque frère ?