Un artiste «américain» se produit à la Villa du Parc (qui coûte 1 million par an au contribuable). On apprend que ses œuvres graphiques à deux balles, que chacun peut produire en dix secondes, sont clouées aux murs, et réservées à l’admiration des foules. Enfin, la foule est surtout celle des enfants des écoles qui sont obligés de visiter ce lieu.

Bien. On va continuer de payer pour cette mascarade.