Mois : février 2012

Nouvelles du front : 75 %

Il faut taxer les riches à 75 % !

Youpi !

Comme ça on est sûr qu’ils partiront.

Certes, il est objecté 1 que ça ne touche que très peu de monde, 2 qu’il s’agit de l’imposition de la tranche (d’imposition) la plus élevée. Le Monde vante immédiatement le mérite de la mesure en fournissant l’exemple d’un crétin qui resterait en France et accepterait, pour faire plaisir aux journalistes socialistes (synonyme du Monde), de voir 75 % de ses revenus de la plus haute tranche, confisqués.

La proposition du loukoum est si sidérante qu’il faut en chercher le sens.

– Elle n’a aucun sens économique, puisqu’une fois partis, les «riches» en question ne rapporteront pas un centime dans les caisses des impôts. On imagine quand même pas qu’ils vont partir et continuer de payer. En termes de rationalité économique, cette proposition est donc contreproductive.

– S’il s’agit de les empêcher de partir, chose quasiment impossible, cela impliquerait que les libertés publiques les plus élémentaires puissent être bafouées, et c’est le peuple tout entier qui en subirait l’outrage.

– Elle ne peut en conséquence avoir qu’un seul sens : la justice. La justice par l’égalité. L’égalité par la destruction de ce qui lui échappe.

Mais l’invocation de la justice ou de l’égalité ne fait pas sens dans cette affaire. Ce qui fait sens c’est ce qui n’est pas dit. Le ressort profond, fondamental, porte un seul nom : l’envie.

Le seul sens est celui donné par cette passion, inavouée parce qu’elle est insoutenable. L’envie se distingue de la jalousie. On est jaloux de ce qu’on a, et qu’on veut conserver. En revanche on envie ce qu’on n’a pas. On envie le jouet du voisin, et on veut le lui casser. L’envie n’a donc aucune rationalité en termes économiques. Sa rationalité n’existe que dans l’ordre de la passion. Secrète.

75 %.

Karamel-pudding.

La part réelle des fonds frontaliers et du casino dans le budget de la ville d’Annemasse.

C’est un débat sans cesse renouvelé, et il faut en dire que sur les fonds frontaliers il existe un consensus au sein du conseil municipal.

D’abord en chiffres :

Les fonds frontaliers en 2011 = 8 352 000 €
Le casino en 2011 = 3 978 000 €

Le total des recettes en 2011 = 47 181 000 €

Donc les recettes fonds frontaliers + casino = 12 330 000 € soit 26 % du total, plus que le produit des impôts locaux directs de 12 003 000 €, en dehors de la taxe professionnelle qui est perçue par l’agglo et reversée à hauteur de 4 114 000 €.

Les analyses divergent en revanche sur le point de savoir si pour les fonds frontaliers il s’agirait d’une « manne ».

L’ancien maire M Borrel s’est insurgé le 23 février 2012 contre cette idée. Pour lui les frontaliers sont une chance, certes, mais aussi une charge. Et il propose l’idée contraire que les charges sont plus importantes que les recettes, de sorte qu’on ne pourrait diminuer le mérite de sa gestion et de celle de son successeur dont le résultat éclaterait dans la bonne santé financière d’Annemasse.

Cette idée est de pure propagande.

Elle escamote une partie de la réalité.

Ce qui est simple à démontrer.

Ce qu’elle omet est que les frontaliers sont aussi imposés à Annemasse ! Ils payent tous les taxes locales, taxe foncière et taxe d’habitation. Quand ils achètent ou vendent, ils payent aussi des droits de mutation.

Si bien qu’en réalité les charges qu’ils représentent, principalement l’école puisqu’ils sont peu consommateurs de services sociaux, sont par définition compensées par les impôts locaux qu’ils acquittent.

Si bien qu’au bout du compte les fonds frontaliers sont bien une manne, et qu’en comparaison aux autres villes moyennes françaises qui n’en bénéficient pas, la gestion socialiste d’Annemasse est au mieux, médiocre.

Casino et budget : comment faire payer les pauvres

Au conseil municipal du 23 février 2012 on a entendu la litanie habituelle d’auto félicitation sociale de l’équipe majoritaire de gauche. Ils sont les champions du monde de l’aide aux pauvres. Les pauvres sont de plus en plus pauvres, mais comme la ville aide de plus en plus elle réussit à rendre le plus en moins et inversement. On finit par se perdre dans les méandres du raisonnement. Tout se termine par l’affirmation décisive qu’ils font en toute hypothèse mieux que personne.

Il y a toutefois une difficulté au raisonnement affirmatif. C’est qu’il rejoint une autre affirmation. Celle que la ville utilise la manne du Casino pour soulager indirectement la misère, puisque malgré le choix d’une aide sociale massive, elle réussit à ne pas diminuer le poste d’investissement, l’argent gris étant utilisé (2,6 millions) pour son financement.

Chaque fois que l’occasion se présente, notre ancien maire se félicite d’avoir su attirer cette manne à Annemasse, en l’arrachant à un ministre de l’intérieur corrompu (Pasqua) avec « ses amis corses ». Bravo. En ce point de son discours du 23 février 2012, des sourires complices se dessinèrent sur toutes les lèvres, et de discrets hochements de tête approbateurs accompagnèrent le propos.

En fait les pauvres sont tondus au Casino. Quand on regarde son parking on cherche les Rolls et on voit surtout des épaves. Ce n’est pas l’impôt sur le revenu qui les tond, puisque nous avons choisi dans notre pays de ne pas imposer ceux dont les revenus sont les plus faibles. Non, on a trouvé un moyen plus insidieux, totalement dissimulé, pour les soulager de leur argent : le Casino. Sur des recettes à Annemasse en 2011 de 27 079 789 €, l’État se sert de 11 082 431 €, et la ville de 3 978 000 €. Le reste sert à faire fonctionner la pompe, il faut bien payer le salaire des croupiers. La ville d’Annemasse profite de la manne. Tout le monde est prié de tourner la tête et de prendre le fric. Une partie de la tonte des pauvres leur sera redistribuée, par des assistantes sociales et autres organismes d’encadrement social. Vous voyez que la gauche arrive à faire payer les pauvres !

Ainsi va le monde.

84,14 % des centristes votent leur soutien à Nicolas Sarkosy au congrès de Samedi 25 février 2012 du Nouveau Centre

Trois motions avaient été déposées pour ce congrès extraordinaire, qui avait pour objectif de définir la ligne politique pour la présidentielle.

La première, portée par Hervé Morin, appelait à soutenir Nicolas Sarkozy, mais en justifiant l’utilité de sa propre candidature. Elle a obtenu 67,63% des suffrages exprimés. «Personne ne peut nier que l’immense majorité des présidents, délégués et cadres de notre parti ainsi que nos milliers de militants souhaitaient cette campagne», a plaidé l’ancien ministre de la Défense qui a défendu sous les huées et  quelques cris de «démission» d’une partie de la salle.

 

Le Nouveau Centre a voté, ce samedi en congrès à 84,14% en faveur des deux motions proposant de soutenir Nicolas Sarkozy à la présidentielle, la motion pro-Bayrou ayant obtenu 15,86%.

Hervé Morin avait auparavant exclu un ralliement du Nouveau Centre au MoDem de François Bayrou. «Notre parti est associé historiquement et philosophiquement à un parti de droite», a rappelé l’ancien ministre. «Je ne donnerai pas un chèque en blanc à François Bayrou ».

Revenant ensuite sur son ralliement à Nicolas Sarkozy il y a une dizaine de jours, l’ancien ministre a expliqué qu’il s’agissait à la fois d’un choix de «cohérence» et de «raison».

Le souffle du fanatisme

Il fallait s’y attendre, le gaz de schiste sera proscrit à
Annemasse. Le conseil municipal, dans sa totalité à l’exception de la voix
d’Anne Michel et de la mienne, a décidé de voter la motion proposée par le maire.

Encore que nos deux voix ne coïncident pas totalement, elle
a voté contre, je me suis abstenu. Je persiste et signe.

Je comprends l’émotion, mais je ne l’approuve pas. L’émotion
s’est emparée des esprits, comme au temps des sorcières une unanimité s’est
dressée pour jeter la malédiction sur un objet. Jadis une pauvre femme,
aujourd’hui sur les nouveaux boucs émissaires de la modernité, le gaz de
schiste ou les OGM, cela n’a d’ailleurs aucune importance. Dans tous les cas ce
n’est pas la raison qui prime, mais la peur, et l’effusion qu’elle suscite.

Alors qu’il ne s’agit que de recherches et pas
d’exploitation, la motion adoptée les assimile. Les débats ont apporté
une précision. L’assimilation repose sur l’idée d’une commune essence maléfique
tant à la recherche qu’à l’exploitation. Derrière il y aurait « une
logique mercantile », le « fric », les multinationales, etc.

Pauvre pays qui régresse au moyen âge, au temps d’avant
la renaissance, d’avant celui des lumières et de l’épopée scientifique. Qui érige sur fond de fantasme,
tous les progrès en boucs maléfiques qu’on peut pourfendre. José Bovet, Robert
Borrel, même combat. Si le premier ne vaut pas tripette, en revanche le second,
intelligent, cultivé, pétri d’humanités, voltairien, vaut plus que la motion
stupide qu’il a signée, que le nouveau fanatisme qui s’empare des esprits.

Mais peut-être ai-je oublié une de ses qualités :
il est habile. L’habileté est ici politique. Les écolos ont réussi à faire prendre la
mayonnaise du rejet en Haute-Savoie, et c’est inattendu. Des maires en principe
raisonnables suivent et se raccrochent au wagon. En stratège Robert Borrel
invite à se joindre au mouvement, et une large partie de la droite tombe dans
le piège.

Je préfère croire en l’habileté, c’est plus rassurant que le
fanatisme et l’obscurantisme.

PS : J’avais pensé vendre le texte de la motion pour aider au financement de la campagne de N Sarkosy, mais l’auteur, le maire, s’y est mesquinement opposé. Je livre donc le lien gratuitement.

http://dl.dropbox.com/u/28029520/Pli%20du%20Conseil%20Municipal%20du%2023%20f%C3%A9vrier%202012/projet%20delib%20-%20motion%20gaz%20de%20schiste.pdf

Oh ! le beau conseil municipal du 23 février 2012

Vous trouverez votre bonheur, un magnifique pdf, sous le lien que vous prendrez soin de cliquer, et grâce à la magie d’internet, vous aurez devant vous le texte véritable et véridique de la note de synthèse de l’ordre du jour du conseil municipal. Tout ce que vous lirez sera adopté, sauf secousse sismique, ce qui ouvre la porte d’une autre merveille spatio-temporelle, la précognition.

J’oubliais le truc sur le gaz de schiste, un truc très mode. Encore une nouvelle fracassante : je ne voterai pas la motion. Dès que je vois écrit « principe de précaution », je fuis. Heureusement que cette imbécilité très tendance, à l’usage de tous les gogos, n’a pas existé lorsqu’on a inventé la lampe à huile, puis la locomotive, puis l’avion, et avant la voile, parce que sinon on en serait toujours dans le merveilleux monde d’avant tout ça où la magnifique destinée humaine était de mourir en moyenne à 30 ans.

« ftp://u47798383@jp-benoist.fr/public/ordredujour17nov2011.pdf »

Pourquoi Hervé Morin a-t’il eu raison.

Les explications données par Hervé Morin dans la motion qu’il soutiendra au congrès extraordinaire du Nouveau Centre le 25 février 2012 soulignent qu’il existe en France un centrisme dont le projet se décline depuis des décennies au sein d’une plus large alliance, aujourd’hui essentiellement avec l’UMP.

D’où la clarté de la position d’Hervé Morin qui n’a jamais dit autre chose sur le report des voix qui le suivent sur le candidat M Nicolas Sarkosy. Exactement à l’inverse de François Bayrou, qui pour des raisons qui lui sont propres, essentiellement les raisons de son ambition, soutient que dans le jeu politique il faut pour un candidat centriste ne pas lever le secret du report avant le second tour. Certes, il existe des arguments en faveur de cette stratégie. Mais la politique n’est pas faite que de stratégie. Il y a aussi des valeurs.

Et parmi ces valeurs, il y a celles qui sont communes ou partagées dans une alliance. Les centristes français depuis la V° République et la bipolarisation (mal nécessaire) n’ont d’autre choix que de se rattacher à un camp ou à un autre.

Hervé Morin a raison. On ne peut être dans le camp du candidat M Hollande.

Lien pour le texte excellent d’Hervé Morin

http://www.nouveaucentre.fr/sites/default/fck_files/file/MOTION%20HERVE%20MORIN%20-%20Un%
20combat%20indispensable%20pour%20l%27avenir.pdf

amnésie et mensonge

Jamais campagne continue de presse pendant de nombreuses années ne fut plus violente contre un homme que celle menée par le camp de la gauche contre le Président de la République Nicolas Sarkosy. Jamais des bordées d’injures n’ont été déversées quotidiennement avec tant de hargne.

Le camp de la gauche est puissant. Il domine les médias qui ont été son relai essentiel. Ainsi dans toutes les radios de radio France, à commencer par France Infos, les attaques les plus outrancières ont succédé aux quolibets les plus pernicieux. Les mêmes professeurs de vertu qui pourchassent toute discrimination et surtout celles qui sont fantasmées n’ont pas hésité à se gausser de la taille d’un homme, que comme des sots ils pensent être une disgrâce, pour ne retenir que cet exemple.

Ces pourfendeurs se présentent comme les héritiers de Mitterrand. Ils pensent tirer de cette ascendance gloire et grandeur, mais leur héritage est avant tout celui du mensonge qui ne peut prospérer que par l’amnésie volontaire qui entoure ce personnage sinistre.

Imaginez un peu ce qu’auraient pu dire nos nains politiques si le président qu’ils vilipendent avait :

–    été ministre du gouvernement de Vichy, on devrait dire de ces saloperies de Vichy, et conservé l’amitié d’ordures de la collaboration,
–    organisé un faux attentat, dit « de l’Observatoire » pour faire parler de lui et tenter d’être élu,
–    entretenu une maîtresse et sa fille adultérine dans les palais de la République, sans jamais le dire aux Français,
–    menti tous les ans sur sa santé,
–    pris tous les ans ses vacances au bord du Nil aux frais du contribuable,
–    eu un ministre dont la maîtresse dépensait sans compter l’argent de la fraude (Dumas),
–    fait faire du fric à des amis proches en les faisant profiter des largesses de l’État (dossier Vibrachoc), perçu lui même avant son élection de gras honoraires de cette société, laissant son fils en bénéficier par la suite,
–    organisé par policiers interposés l’arrestation de pseudo terroristes à Vincennes,
–    mis sur écoute téléphonique plus d’une centaine de personnalités qui restaient critique à son égard,
–    eu un collaborateur proche qui s’est suicidé d’un coup de 357 magnum au plein milieu de l’Élysée,
–    organisé un attentat contre Greenpeace (rainbow warrior) et nié devant les journalistes avoir quoique ce soit à voir avec ce meurtre,
–    eu un premier ministre dont les bonnes affaires ont été dénoncées qui se suicide devant le scandale (Berégovoy),
–    dévalué 3 fois la monnaie, et augmenté l’endettement du pays de 250 %,
–    etc.

(cette liste non exhaustive est reprise de commentaires)

C’est pourquoi le ton injurieux qui pendant près de cinq ans a inspiré l’essentiel du discours de la gauche sur le chef de l’État exhale aujourd’hui le parfum de la fange.

Le mensonge fondamental de la gauche porte à la fois sur ses origines et sur son projet. Sur ses origines elle camoufle d’un côté la montagne de cadavres volontairement accumulée par l’extrême gauche marxiste léniniste et trotskyste, et de l’autre le mensonge mitterrandien. Sur son projet c’est encore plus terrible. Elle sait pertinemment que ce qui est proposé conduirait inéluctablement le pays à son déclin, si jamais cela devait être réalisé.  Mais elle a l’art de la peinture en trompe-l’œil.

Le seul choix est entre le mensonge et l’effort. Le mensonge finira par exploser et l’effort seul paiera.

Mais rien ne dit qu’il ne triomphera pas à court terme, à échelle de quelques mois.

Et pourtant même à gauche il est possible de dire la vérité sur la situation de notre pays, et sur l’état du monde. Ni Michel Rocard ni Jacques Atali, qui tous deux vont soutenir le candidat socialiste, ne mâchent leurs mots. Ils n’ont recours à aucune démagogie. Leurs choix sont critiquables mais pas leur comportement.

Deuxième pilier : la mauvaise idée du Modem local

Le candidat du Modem Antoine Vielliard a lancé l’anathème sur le second pilier des frontaliers.

Ils ne doivent pas pouvoir le retirer, selon lui. Il avance pour cela deux arguments : tout d’abord les frontaliers sont des imbéciles qui vont manger la grenouille, c’est-à-dire dilapider le capital, et après en prime ils seront à charge des vertueux comme lui à travers l’aide sociale, et en second lieu ils s’exposeraient aux risques de change. Il faut les protéger malgré eux, changer la loi pour que les seconds piliers soient investis au pire dans les caisses françaises, ce qui aurait le mérite incident de diminuer la pression inflationniste locale.

Hou ! vilains frontaliers ! panpan cucul fefesses !

Ce qu’il y a de formidable avec l’élite politique, genre l’édile cantonal de St Julien, c’est qu’elle est persuadée de détenir LA vérité, laquelle est SA vérité. De là à vouloir l’imposer aux manants abrutis, il n’y a même pas l’espace d’un pas, c’est la même inspiration et le même souffle qui y portent naturellement.

Et pourtant quelque soit l’immense sapience de son auteur, c’est une très, très mauvaise idée.

D’abord c’est une idée liberticide.

Les bataillons d’assistantes sociales, de socio-machins patentés, imprégnés de la vulgate freudo-marxo-jeuniste, qui vous flanqueraient sous tutelle de la CAF la terre entière, de Liliane Bettencour à Johny Halliday, sauf les comités d’entreprises EDF, SEAFRANCE, etc. (il ne faut quand même rien exagérer), grignotent jour après jour l’espace de respiration du bon peuple, et tissent l’immense filet du contrôle social visqueux, variante doucereuse de la dictature façon 1984 du regretté Orwell. Un vrai programme à la François Hollande, du Caramel-pudding pur jus.

Et pourtant si je veux aller au casino avec ma paye, lire toute l’anthologie des discours de Gilles Rigaud (dans l’édition annotée par Erebus), et me noyer dans l’alcool pour oublier au plus vite un tel désastre, c’est mon droit le plus absolu.

Ensuite c’est une idée absurde parce qu’elle gomme toute la réalité de l’emploi massif que font les frontaliers de leur second pilier : se procurer un toit. Et le toit c’est une bonne partie de la retraite. Certes, quelques fois ça s’évapore. Le plus souvent à l’occasion d’un divorce qui entraîne la vente du bien immobilier, quelques fois à la casse. Mais dans la majorité des cas le système fonctionne plutôt bien. Il permet à des ménages d’investir dans leur logement, les dégageant d’autant de l’emprunt, et surtout constituant un apport important. Toit = retraite.

Le groupement des frontaliers (GTE) s’est aussitôt montré très réticent sur cette idée. Il a raison. Il faut l’écarter. À chacun de décider de son avenir.

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