Si le ciel ne me tombe pas sur la tête, si la neige ne fond pas au printemps, si la lune a comme un air de fête, alors un peu plus tard après la nuit, je prendrai connaissance des morceaux choisis que la majorité voudra bien me communiquer avant les prochaines élections, sur les toutes petites et minuscules questions que je pose aux services municipaux, qui ne peuvent pas me répondre sans l’aval du cabinet du maire. Et le Kabinet ist silencieux.
Heureusement on peut écouter Niagara. (Ça vient de sortir).

Il y a donc une réalité dans le fonctionnement du petit pouvoir municipal. Loin des déclamations il se révèle à l’usage. La vérité est celle de l’opacité. Cela a une conséquence : désormais il devient impossible d’accorder la moindre confiance à la majorité de gauche. Même pas sur le plus petit bout de trognon de question. Et c’est bien malheureux.